Bernard, c’est quoi ?
Bernard c’est des chansons rock à bretelles.
Une contrebasse et une guitare pour une rythmique nerveuse et mélodique, un harmonica qui ornemente bluesement, une clarinette pour faire original et des chansons rock’n roll à bretelles, c’est ça Bernard.
Bernard ont le respect d’eux-mêmes, au-delà de 3 accords, il y a débat, on en reste au rock’n roll à bretelles, les neuvièmes augmentées vont se faire foutre, et les accords diminués portent bien leur nom.
Les références à Bernard vont plutôt disons du rock’n roll aux goguettes, en passant par le punk au niveau des bretelles. L’avis généralement partagé par les publics à Bernard est souvent enthousiaste. En effet, on entend régulièrement les gens dire carrément qu’ils trouvent ça pas mal, surtout la musique et les paroles.
Dans un monde si tellement anxiogène, Bernard s’attachent à beaucoup adoucir les mœurs avec leurs musiques et aussi avec leurs paroles gentilles. Pour cela, Bernard se sont donné pour mission de chanter un petit peu partout, pour faire sortir les gens de chez eux, parce que ça fait du bien de sortir un petit peu de chez soi.
Bernard c’est pour les jeunes, les vielles-eux, les moches, les belles-aux, les gros-ses, les
petit-e-s, les ploucs, les bourgeoises-x, les comptables, les chômeuse-eurs ou les
chauves, autant de marchés de niches, qui, rassemblés, font l’unanimité de toutes et tous.
Bernard, c’est qui ?
Bertrand Ehrhart (chant, clarinette, guitare):
Bertrand chante ses chansons depuis le 20e siècle, notamment dans «les Chasseurs Français», «l’histoire à Bernard»… (1ères parties de Yan et les abeilles, Yann Tiersen, Anne Sylvestre…)
Anne Gouraud (contrebasse):
Anne a joué et joue encore dans plein de groupes comme « les Elles », « Mamie Chan Band », « Matthieu Boré », « Djazzelles », « Urban Sax », « Frédéric Fromet »… On peut dire qu’en tant que contrebassiste elle a plus ou moins accompagné la Terre entière.
Matthias Aléon (guitare):
Matthias a joué du gros son dans « Mushrooms », « Brainsucker » pour envoyer du punk-rock et du post-métal sur les scènes de la France jusqu’au fin fond de l’Allemagne au début du 21e siècle.
Luc Seurin (harmonica):
Luc a accompagné à peu près tout le monde comme “Mickey Finn and the blue men”, “Acapulco Gold”, “Frankistadors” et il a joué avec les plus grands harmonicistes comme Diabolo…
